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Le Hobbit : Un voyage inattendu - Version longue : comment le film enrichit l'univers de J.R.R. Tolk



Le Hobbit : Un voyage inattendu (The Hobbit: An Unexpected Journey) est un film américano-néo-zélandais réalisé par Peter Jackson, sorti en 2012. Il s'agit du premier film de la trilogie Le Hobbit, adaptée du roman du même nom de 1937 de J. R. R. Tolkien, qui décrit les aventures du hobbit Bilbon Sacquet accompagnant le magicien Gandalf le Gris et une compagnie de treize nains menée par Thorin Écu-de-chêne , pour récupérer Erebor, un des royaumes des nains pris et occupé par le dragon Smaug. Ce premier opus forme avec ses deux suites, Le Hobbit : La Désolation de Smaug (2013) et Le Hobbit : La Bataille des Cinq Armées (2014) un préquel à la trilogie Le Seigneur des anneaux (2001-2003) également réalisée par Peter Jackson.




Le Hobbit : Un voyage inattendu - Version longue



Je n'ai jamais vu les versions longues de cette trilogie, n'ayant jamais trouvé de réel intérêt à celles du SdA déjà. Mais l'article ici présent pourtant titré "5 raisons de préférer..." liste finalement 5 raisons qui ne donnent aucun vrai argument pour préférer la version longue, au contraire.J'adore cette saga. J'adore les 6 films et le tout qu'ils forment. Mais je les aime dans leur version cinéma. Les versions longues ne sont pour moi que du fanservice pour les lecteurs frustrés qui en auront un peu plus sans pour autant avoir totalement les livres. Et je dis ça en ayant moi-même dévoré les livres bien avant que les films ne soient produits.Autant je peux entendre les arguments de ceux qui ne jurent que pour les versions longues du SdA (même si la version cinéma me convient très bien, personnellement), autant les arguments cités ici pour "Un voyage inattendu" semblent tomber totalement à plat.


J'ai revu cette version longue l'autre jour...et bah assez étonnamment même si il ne s'y passe pas grand chose et que le film est avant tout très descriptif, les trois heures ont passé plutôt vite.


Trilogie longue, qui ne respecte pas le matériel originale qui, non seulement l'étire et l'étire mais essaye de raccorder avec le seigneur des anneaux de façon maladroite. Et surtout, tout est très très laid visuellement. Le glow sur l'ensemble des plans est atroce, les cgi beaucoup trop voyants et la mise en scène inutilement chaotique. Le hobbit, a oublier.


@CépafoLe Hobbit a été publié en 1937 soit 17 ans avant le Seigneur des Anneaux, pas 2-3 ans. Pour en revenir aux films on peut considérer que c'est déjà une version longue vu le nombre de pages du livre, il n'y avait pas besoin d'en rajouter.


En novembre 2015, à l'occasion de la sortie de la version longue du dernier volet du Hobbit, Première faisait le bilan. A relire avant la rediffusion du premier opus, Un voyage inattendu, ce soir sur France 2.


La trilogie du Hobbit ne sera jamais au niveau de celle du Seigneur des Anneaux. Ca, c'est acté, tamponné, bien établi. L'histoire ne pouvait pas se répéter : à la légèreté incroyable et au découpage fabuleux du Seigneur version cinéma (plus courte, plus fluide, aussi beau que le bouquin) succédait, douze ans plus tard, une version hyper rallongée voire alourdie d'un bouquin d'à peine 300 pages. On le sentait venir dès le premier film en salles, et les deux suites n'ont fait que confirmer ça. Pourtant, malgré tous ses défauts, la trilogie du Hobbit version longue est bel et bien indispensable. Comment ça ? Reprenons. Or donc, aujourd'hui (19 novembre), onze mois après la sortie cinéma comme le veut la tradition, la version longue du Hobbit : La Bataille des cinq armées sort en DVD et Blu-Ray dans une édition fourrée de bonus jusqu'à la moelle. On peut enfin mettre le boîtier sur la pile du Hobbit, à côté de l'édition full size du Seigneur des Anneaux (indispensable à toute DVDthèque), allumer le lecteur, faire chauffer la tisane. Et considérer enfin dans toute sa globalité le corpus tolkiennien de Peter Jackson. Si on a du temps devant soi. Le Seigneur version longue : 12 heures 6 de film. Le Hobbit version longue : 8 heures 54. Total : 21 heures de film. Et ce sans compter les bonus (on y reviendra), mais à y réfléchir, ce n'est pas si terrible, ça correspond à une saison moyenne de série télé.


La version longue de La Bataille des cinq armées a beau être estampillée tous publics en France, on se rappellera qu'aux Etats-Unis le visa PG-13 (film déconseillé aux moins de 13 ans) a été remplacé par un tampon R ( restricted , déconseillée aux moins de 17 ans) à cause de ses scènes de violence supplémentaires. En version longue, Jackson a rajouté vingt minutes (comme les deux précédents volets) par rapport au montage cinéma. Surtout dans le dernier acte (la bataille du titre), de nombreux effets gore jaillissent à la gueule du spectateur ravi de voir ENFIN un blockbuster se lâcher et Jackson donner à sa caméra toute sa force cinétique. Notamment lors d'une poursuite en chariot rallongée hallucinante -on aurait adoré la voir au cinéma- où des trolls sont décapités dans des gerbes de sang noir par les roues dudit véhicule. Des cornacs gobelins guident des trolls de guerre aveugles grâce à des crocs de fer plantés dans leurs yeux. Et caetera. Ceux qui se plaignaient de la longueur des deux précédents films peuvent aller se rhabiller : le film est plutôt court (2h30 sans le générique rallongé qui dure, lui, pas moins de 14 minutes) et file à une vitesse dingue. Et on peut revoir toutes ses beautés, nombreuses. Le prologue avec le dragon qui ravage la ville, la folie de Thorïn, le duel final sur la glace, les funérailles finales...


Sans être totalement achevé (la conclusion mal foutue et les autocitations régulières de la première trilogie restent de vrais problèmes), le film est devenu définitivement le meilleur des trois. Et permet de relativiser un peu l'hubris de Jakson, qui admet avoir bâclé la trilogie du Hobbit ( You're going to a set and you're winging it , avoue-t-il au fin fond du commentaire audio) en réalisant les films sous pression et en ayant récupéré le bébé du réalisateur Guillermo Del Toro. En se fadant les dizaines d'heures de bonus (on en a gardé plein pour les longues soirées d'hiver), la trilogie full version des trois Hobbit peut et doit être vue comme un Peter Jackson, œuvres complètes, volume 3 . Une œuvre immense dont les coulisses et les notes de bas de page sont au fond autant sinon plus passionnantes que le résultat final. Les bonus durent en moyenne six heures par film, et on ne se lasse jamais de voir Weta Workshop nous causer storyboards, SFX, forges d'épées et concept arts. On replongera encore longtemps, fascinés, au cœur de ce monument.


En fait, si Jackson a taillé sévèrement dans Lord of the Rings pour en tirer du cinéma pur, il s'est tout autant approprié Bilbo le Hobbit mais très différemment. En le transformant en grand champ d'expérimentation, de variations stylistiques et dramaturgiques. Peter est un dungeonmaster menant une partie de Donjons & Dragons friquée à 745 millions de dollars, étirant pour le plaisir de ses joueurs/spectateurs aussi bien d'immenses moments de baston pure qu'un banquet de Nains péteurs et chanteurs. Des fois, ça marche (la descente en tonneaux peaceful du bouquin, martialisée, changée en bataille dans La Désolation de Smaug), des fois ça rate (le story arc du Nécromancien, redondant avec La Communauté de l'anneau). Le Hobbit a beau être le Seigneur en courant alternatif, les versions longues sont bel et bien indispensables. On rêve désormais à la conclusion idéale. Jackson (actuellement au boulot sur Prisoners of the Sun, la suite du Tintin de Spielberg) pourrait pour achever son magnum opus réaliser une adaptation du Silmarillion, la théogonie posthume de J.R.R. Tolkien composée de contes épars, matière mythologique fabuleuse racontant les batailles du Premier et Second Age de la Terre du Milieu. Et on attendrait la version longue. There and back again.


Ce soir, France 2 diffuse Le Hobbit : Un voyage inattendu, en version longue, dès 21h05. L'occasion de découvrir tout un tas d'anecdotes concernant l'un des films les plus marquants de Peter Jackson. Le réalisateur néo-zélandais a pour habitude de faire des cameos dans ses films, et ce, depuis l'une de ses premières productions, Bad Taste en 1987.


Le Hobbit : Un voyage inattendu n'échappe pas à la règle : Peter Jackson y fait une brève apparition. Comme on peut l'apprendre sur la fiche Imdb du long métrage, le cinéaste apparaît brièvement au début du film. Portant des prothèses et du maquillage, il n'est quasiment pas reconnaissable. Il était déguisé en nain boiteux essayant de s'échapper d'Erebor après l'attaque de Smaug.


La réalisation de Peter Jackson est disponible chez nous depuis le 13 Novembre en version longue (13 minutes en sus) dans 3 éditions : une 2D, une 3D (& 2D) et une édition collector avec statue de Gollum et Bilbo.


Quoi ? Seulement en blu-ray ? Putain j'attend les versions longues en DVD depuis que je suis sorti de la salle de ciné moi ! Sinon je trouve que cette scène reflète le film à travers ses qualités et ses défauts : une très belle scène lorsque l'on connait la destinée de Bilbo et son futur exil à Fondcombe (point positif) mais un peu gâchée par cette musique nostalgique provenant du SDA histoire d'amener son lot d'émotion, c'était inutile. 2ff7e9595c


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